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Créé le : 08/05/2005 02:17
Modifié : 23/04/2021 19:15

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[ Nouvelles d'auteurs ] [ NovellaMiA ]

Lecture offerte : moitie de page 1 + 3/4 de page 3

12/09/2008 11:39

Lecture offerte : moitie de page 1 + 3/4 de page 3


CHANCE ALÉATOIRE de MiA DoMa

 (moitié de la page 1)

°°°
 

Roch bouge ; les yeux fermés sur les restes d’un doux rêve empli d’une plénitude à l’ambiance rose, s’étant terminé barré de stries noires ; s’éveille à la douce odeur d’un thé au jasmin.

Ava, sa femme, le ramène ainsi chaque matin depuis le premier de leurs matins, d’un petit déjeuner garni de toutes sortes de gentillesses envers ses envies papillaires.

Et ce qui lui fait surtout ouvrir les yeux, est le savoir du plaisir de « la » voir.

Le premier rayon de soleil que Roch reçoit ; lui montre chaque fois le magnifique visage de son épouse. Ce matin, il n’y a pas de cet éclairage embellissant habituel, il pleut.

Et Ava… a un bouton sur l’aile du nez ; à gauche.

- Oh ! Qu’est-ce que c’est que ça ? Tu es malade, peut-être ?

Ava se met à pleurer.

Dans son élan pour la prendre aussitôt dans ses bras, ses genoux se pliant, il bouscule le plateau de leur petit-déjeuner. Il se recule sous la brûlure du thé chaud renversé ; elle aussi, ainsi droite debout, après un temps d’arrêt au bond qu’elle a fait, s’enfuit en sanglotant de plus belle.


(3/4 de la page 3 )


°°°

- Bon dieu de saloperie de bois de mes deux ! c’est quoi ce bruit d’enfer ? Encore des marteaux-piqueurs ? à cette heure du matin ? Et Dido ouvre sa fenêtre pour gueuler d’importance contre les « bruiteurs ». Et de prendre plein d’eau dans la poire… vu qu’il pleut.

Rien ne l’empêche d’invectiver ce monde responsable de son réveil saumâtre, ni de tempêter plus fort encore que l’averse orageuse ; contre ladite ; qui en remet une couche juste pour lui faire rentrer la tête à l’intérieur de sa chambre.

Au travers du rideau d’eau, spécial Dido, le v’là-t-il pas qu’il aperçoit sa femme Momo.

- Et tu es sortie comme ça ? Sans rien, sous la pluie ? En bigoudis ? J’te dis pas le tableau qu’tu fais !

Comme de bien entendu, elle lui répond de même en hurlant tout comme, comme une harengueuse ; c’est de famille.

Même leurs mômes sont en guerre de mots depuis toujours et ce matin, ils ont mis la grosse batterie d’la Bertha en marche ; et Dido reçoit les zoomélies garnementales en pleine poire dès sa sortie de la chambre parentale.

Chambre insonorisée pour. Ou contre, faut voir !

 

Voilà son plus beau mal de tête qui démarre et de bon matin, se dit Dido. Il en a tellement l’habitude que cela ne l’empêche pas d’aller au-devant de sa gueularde, histoire de l’aider dans sa charge de marché qu’elle vient de faire.







Lecture offerte: mi-page 3 - mi-page 4 du texte

12/09/2008 11:11

Lecture offerte: mi-page 3 - mi-page 4 du texte


Un jour, l’ARA...

de l’Auteur-Editeur MiA DoMa


(de la mi-page 3)

Nous vivons un bonheur total sur ce village de roche, elle et moi, entourés de la plupart des membres importants de notre peuple ; tous ceux liés au développement de notre race. Enfin en paix depuis longtemps. Reine Mère que j’appelle dans l’intimité «Cherrara» n’a jamais été si monstrueusement belle ! Et si impliquée dans son rôle de mère, avec tant de béatitude application.

Et je suis persuadé que c’est en grande partie grâce à moi.

 
 
* *
 
 

Je n’oublierai jamais dans quelle décrépitude physique et morale elle se trouvait, lorsqu’elle a failli être détruite. Et nous tous aussi.

Proche de la mort par manque de nourriture, d’abri, et devenue la proie à éliminer en priorité de nos créateurs, elle trouva tout de même la force de se sauver et sauver suffisamment des nôtres pour que notre race perdure.

 

Nous n’avons pas demandé à vivre !

Vous nous avez fabriqués !

À tellement vouloir nous éliminer comme nuisibles, vous avez obtenu le résultat inverse. Nous avons pris de l’ampleur et vous avez paniqué. Vous ne pouviez pas cérébralement géré, avoir créé une nouvelle race. Et vous êtes lâchement peureux, vous les hommes et surtout les femmes, devant une araignée.

Pourquoi avoir si peur d’une si petite bête ? D’accord, nous avions du venin, mais ce n’était jamais pour vous viser avec nos poisons. Il n’était pas fabriqué pour l’attaque de l’homme, juste comme arme de chasse ; pour nous nourrir.

Tiens ! Je m’en sers aussi aujourd’hui… pour la chasse !

J’en fabrique tellement grâce à vous, que je vais finir par «VOUS» éradiquer. Je suis devenu famillicide1 puisque vous êtes mes créateurs, mais vous l’avez cherché !

(à la mi-page 4)






Lecture offerte : 1ere page du texte

12/09/2008 09:44

Lecture offerte : 1ere page du texte


SABLE CHAUD de l’Auteur-Editeur MiA DoMa


(1ere page)

 
Me voilà arrivée à la plage.

Il y a un monde fou. Il est toujours très ardu de se trouver un coin de sable, pour s’y étendre, s’y reposer, afin de savourer un bain de soleil.

Moment toujours aussi revigorant que toujours que ces rayons de soleil qui, par chaleur, apportent tant de bien-être au corps. Enfin ! C’est surtout mon cas. J’ai besoin de la chaleur, de la lumière et des effets du soleil, pour que mon corps obéisse à tout ce que je lui demande. Et je suis toujours étonnée de rencontrer des personnes pour qui le soleil est néfaste. Bien qu’ils soient tout de même peu nombreux. Et à regarder autour de moi aujourd’hui, j’aurais plutôt tendance à penser qu’il y a vraiment beaucoup de personnes qui ont les mêmes besoins que moi.

Que de monde sur cette plage ! Tant qu’il me faut me diriger vers le bord de l’eau pour avoir une place où m’installer pour la journée. Et puis, au moins, là, à cet endroit, au bord de la mer, je serais en paix.

 

La mer est aujourd’hui, belle, calme comme en un jour d'été. Elle offre à mon regard une couleur unie dans les bleus du mois d'août, un bleu un peu vert. Et si transparente ! Elle est limpide parce qu’elle ne fait pas de bruit.

Pas de vagues, elle est lisse, et elle ne fait pas de bruits.

 

Il me manque le bruit des vagues !

Qu’elles fussent petites et offrant un bruit moussu, ou qu’elles fussent grosses et offrant un bruit titanesque, elles avaient leurs pouvoirs. Sur leurs caractères répétitifs, mon cœur se mettait à l’unisson. Mon cœur ! Cet outil copieur ! Car ce n’est pas tant la vitesse rythmique de l’eau en mouvements qui me fait du bien ou du mal, mais bien du fait que c’est un battement régulé.

2






Librairie de MiA : Explication

12/09/2008 09:29

Librairie de MiA : Explication


Bonjour à tous lecteurs… de la part de
MiA DoMa, Ugo MILSON, Pat GEIAMÉ.
 

Je vais tenter sur mon blog ci-présent, d’intéresser toutes les personnes qui aiment la lecture, ce qu’on appelle plus pompeusement « s’adonner à la connaissance par la littérature ».

 

En venant sur mon blog, vous devenez un des lecteurs de la « COM' de MiA ».

Le but de ce blog étant à fortiori, de vous faire connaître le travail d’Auteur, du mien, de celui de mon Auteur de fils, de celui qui nous accompagne dans le même genre de travail ; et de vous donner un moyen d’acheter nos ouvrages.

Un jour, vous verrez, vous aurez envie de visiter autre chose que l’intérieur de votre vie de tous les jours.
Et alors, vous lirez LÉGENDE D’UN FUTUR del’Auteur Ugo MILSON.

Après en avoir eu le comportement souhaitable, à l’instar de celui que vous auriez si vous vous rendiez dans une librairie pour ce faire.

- Dans ma librairie, je vous présente chaque ouvrage et vous en donne un peu de son contenant… à lire.

- Si vous voulez en savourer la totalité, alors, vous ferez vivre les auteurs que nous sommes, en acquérant les exemplaires publiés, directement des créateurs (MiA DoMa et Ugo MILSON et Pat GEIAMÉ) aux consommateurs (que vous êtes).

- Par les coordonnées suivantes : 0627216455 ou auto-editions@live.fr (ou vous laissez un message de vos vœux et vos coordonnées)

[La marche à suivre, est : Nantis de vos coordonnées postales, nous préparons le ou les exemplaires que vous désirez acquérir, et dès réception de votre payement, votre commande part… vers vous.]

(Procédure simplifiée et moins chère que toute autre)

 
 
Que ce soit bien clair : Nous sommes Auteurs - Editeurs.
Nous écrivons. Nous publions. Nous diffusons.

Parce que notre travail d’artistes Auteurs, considéré « légalement » comme une activité, nous plaît assez ainsi, même si nous préfèrerions qu’une plus grande maison d’édition en soit diffuseuse. (Donc, avis aux intéressées !)

 
 
Autre raison de mon attitude sur mon blog : Mon « Appel à Auteurs »

Qui vous est expliqué dans un article précis nommé : NovellaMiA

 
MiA





J'ai écrit cela en 99.

16/05/2005 11:07

J'ai écrit cela en 99.


29 EGO, ES-TU LA ? . 22-06 Pourquoi est-ce que j'éprouve tant de fatigue ? . Je vous dirais bien illico, mon état de santé est médiocre ; je suis faible ; je n'ai plus qu'une petite forme. Mais si je suis honnête, je vous avouerais que seul mon esprit est malade, un peu fatigué. Il n'est toujours que réflexion. " Je pense, donc je suis ! " , m'a toujours fait réfléchir. Et c'est bien là la raison de ma réflexion : je suis toujours en train de penser. En apparence, je suis une " boute-en-train ", je passe pour être peu responsable aux yeux des autres. Disons que je cache bien mon jeu. Ou plutôt, je ne cache rien. J'ai seulement changé, (avec le temps ! ) de manière d'être. " Dans ma jeunesse ! ", j'essayais de partager mes pensées. Tout ce que cela m'a valu ? . De passer pour une foldingue distrayante, pas très ordinaire ! . Une originale quoi ! . Lassée d'être reléguée dans cette catégorie, qui n'apporte pas de satisfactions extérieures ; celles amenées par les autres ; ( eh ! oui, j'en ai voulu aussi ! ) j'ai gardé mon esprit pour moi, et quelques rares élus ponctuels, et j'ai essayé de paraître " normale ". Attitude enfantine ? . O.K. ! . Mais ma nature " femme-enfant " ne se refait pas. Ou plutôt. Si on se refait, on est refait, par la force de sa person¬nalité qui gagne du terrain avec le temps. C'est à mon âge, avec mes propres expériences, que je deviens celle que je n'aurais jamais dû planquer, celle que j'étais au départ. Et je reste maintenant moi-même ; que ça plaise ou non ! que ça m'apporte ou rien ! que je sois normale ou marginale ! . Voyez ! . C'est comme vous voulez... ou ne voulez pas. Pendant toutes ces années où je me suis abritée derrière une " fausse identité ", je n'étais pas moi-même. Pas vraie, pas juste, pas constructive, pas heureuse, car je n'étais pas correcte avec moi-même. Ce qui fait que si j'ai appris quelque chose, c'est que j'ai toujours détesté le mensonge et sûrement parce que je l'utilisais dans sa forme la plus destructrice. - Envers moi-même ! . Je ne suis pas retournée en arrière, mais en toute honnêteté, maintenant je reste ce que je suis. Comme c'est nouveau, je fais connaissance, je m'apprécie... enfin ! . L'appréciation des autres viendra peut-être un jour, ou pas. Tant mieux ou tant pis. De toute manière, avant en masquant ma personnalité, maintenant en m'en servant, personne ne m'apprécie. Alors, autant ne pas me fatiguer à composer ! . L'essentiel est que je suis sûre d'avoir retrouvé le beau chemin. Le mien. Et j'adore ma catégorie. J'adore ne pas être comme les autres, j'ai toujours adoré cela, sauf que maintenant, je cultive cette différence. Depuis quelque temps, j'ai envie de dire " je suis heureuse ", même si je ne sais pas pourquoi. Rien n'a trop changé à vos yeux. Mais dans mes yeux, il y a la lumière des justes. De la juste moi-même. Je suis comme ça... et je me plais. Je n'ai jamais souhaité autre chose qu'être celle-là ! . J'ai peut-être mis un certain temps pour m'accepter, mais je ne regrette rien. J'ai appris ce qu'il me fallait, et sans doute devais-je en passer par là, pour supporter cette énorme personnalité que je possède. Je ne mets aucune vanité dans la dose que j'apprécie à mon endroit, j'use juste de conscience. Consciente qu'en me retrouvant, j'en fais peut-être un peu trop. C'est la retrouvaille ! . J'exubère ! . Et c'est ce qui me, fatigue assurément. vous, Les grandes joies épuisent. Surtout celles de mon esprit. 30 22-06 ET COMMENT ! .

Commentaire de OpUs-MaGnUm (03/06/2005 00:54) :

Coucou, superbe ton récit: la petite allusion à Descarte au début avec son fameux "je pense, donc je suis!" ... Et une chose et sur, comme tu l'écrit si bien c'est avec le temps et l'expérience qu'on ce construit mais, surtout, surtout ne jamais aller contre sa nature. Reste comme tu es, et si les autres n'aiment pas je dirais plus alors, aime toi comme tu es et le reste viendra car tu sera épanouis. Gros bisous sincérement!!!





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